Mes règles sont douloureuses…Et si c’était un fibrome ?

Mes règles sont douloureuses…Et si c’était un fibrome ?

« Avoir mal pendant ses règles, c’est normal », je suis à peu près sûre que la plupart d’entre vous ont déjà entendu ceci. Et bien sachez qu’il s’agit de la plus grosse croyance qui soit dans l’univers de la menstruation.

Il est bon de se rappeler que l’utérus est un organe musculaire creux. Comme tout muscle du corps, il a la propriété de se contracter, et de se décontracter à certaines périodes de la vie. Toutefois, il ne se contracte pas selon notre volonté, il va se contracter en toute autonomie quand il en a besoin, c’est-à-dire lors des menstruations et lors de l’accouchement, avec pour objectif de « faire sortir » ce qu’il se trouve à l’intérieur.

Ressentir les contractions utérines au moment des menstruations, oui, cela est normal, mais se tordre de douleur, non ça ne l’est pas !

Si les douleurs sont intenses, c’est qu’il y a une cause à cela : soit ton utérus se contracte trop souvent, soit il se contracte trop longtemps. Résultat : il a des crampes, et ça, on le sait, une crampe, ça fait très mal. Un peu comme lors d’une session de sport trop intense. La douleur pelvienne peut donc être liée à cet état de contraction permanent. Et s’il se contracte de façon anarchique, c’est peut-être qu’il cherche à « évacuer » quelque chose…

Ensuite, j’aimerais évoquer l’abondance du flux. Si tu remarques un changement dans l’abondance de ton flux, ne laisse pas les médecins de te dire, « c’est normal, ça dépend des femmes ». Il faut nuancer le propos, si tu as toujours eu un flux abondant ok, mais si tu remarques un changement important dans l’abondance de ton flux, à nouveau, c’est que quelque chose a provoqué ce changement.
Les raisons des douleurs pelviennes et des hémorragies peuvent être multiples, et parmi ces raisons, le fauteur de troubles pourrait bien être…. LE FIBROME.

Il me tient à cœur de te sensibiliser sur cette pathologie, car elle est très courante, mais peu ou mal connue, et souvent décelée trop tardivement (quand c’est le moment où tu décides de vouloir des enfants notamment).

Il n’est pas toujours aisé d’associer les fibromes aux symptômes qui leur sont liés, et auxquels nous avons tendance à nous habituer. Pourtant, il est important de ne pas les prendre à la légère, car ils peuvent être très impactant dans notre quotidien de femme.
Viens avec moi, on fait un petit tour d’horizon ! 

Qu’est-ce qu’un fibrome utérin ?

Pour planter un peu le décor, je te propose de définir ce qu’est un fibrome utérin.

Le fibrome utérin, appelé aussi léiomyome ou myome, est une tumeur bénigne constituée de tissus musculaire et fibreux. Pour faire simple, il s’agit d’une prolifération anormale des cellules musculaires de l’utérus qui conduit à la formation d’une masse fibreuse. Ils peuvent rester aussi petit qu’un grain de poivre, tout comme ils peuvent devenir aussi gros comme un ballon. Non-non, ce n’est pas une blague, pour te dire en 2018, une femme originaire de Singapour s’est vu enlever un fibrome utérin de plus de 28 kg, truc de dingue non ?
Mais pas de panique, malgré leur taille parfois imposante, il est très rare que ces tumeurs deviennent cancéreuses. Toutefois, il faut savoir qu’il existe différents types de fibromes selon l’endroit où ils sont situés au niveau de l’utérus :

Fibrome 1

(crédit schéma : https://fibrome-info-france.org/)

  • Le fibrome sous-séreux est celui qui se situe sous la surface externe de l’utérus.
  • Le fibrome intramural est celui qui se situe à l’intérieur de la paroi utérine, dans la couche musculaire.
  • Le fibrome sous-muqueux est celui qui se situe sous la couche interne de l’utérus, au niveau de la muqueuse utérine.

Toutes les configurations sont possibles. Tu peux te retrouver avec un seul fibrome, ou bien plusieurs, et de tout type confondu.
En fonction de la localisation, du nombre et de la taille des fibromes, les symptômes peuvent varier d’une femme à l’autre.
De nombreuses femmes ont des fibromes utérins au cours de leur vie sans même s’en apercevoir et sans avoir aucun symptôme. Pour d’autres, elles pourront par exemple ressentir une sensation de pesanteur au niveau du bas-ventre, avoir des douleurs pelviennes, des règles hémorragiques avec augmentation très importante de leur volume et de leur durée, des caillots, voire des saignements en dehors des menstruations. À ces symptômes, peuvent également s’ajouter des ballonnements, des douleurs durant les rapports sexuels, des envies fréquentes d’uriner, de la constipation, et parfois même des hémorroïdes.

Un joli cocktail, n’est-ce pas ?

Comme il arrive très souvent que les fibromes soient asymptomatiques, ils demeurent alors non diagnostiqués, et bien que ce soit une pathologie très courante, il est donc difficile d’établir une prévalence. On parle en médecine de prévalence pour désigner la fréquence d’une pathologie au sein d’une population. Les données disponibles en France ne concernent que les femmes souffrant de symptômes. Selon une étude menée en 2014 sur un échantillon de 2500 Françaises âgées de 30 à 55 ans, près d’une Française sur 10 est concernée par le fibrome utérin symptomatique. UNE FEMME SUR 10 !!!
Je te laisse imaginer les chiffres si on pouvait y inclure également les femmes concernées par les fibromes asymptomatiques….

Cause et facteurs de risque.

Mais alors, c’est bien beau de savoir tout ça me diras-tu, mais d’où elles proviennent ces tumeurs ?

Car oui, le fibrome est peut-être la cause de tes symptômes, mais il est avant tout la conséquence d’un dysfonctionnement antérieur. Eh oui, il n’est pas arrivé là par magie.
Le truc, c’est que malheureusement, malgré les recherches et les études scientifiques, l’origine des fibromes reste encore floue aujourd’hui. Pour une raison encore inexpliquée, une cellule isolée commence à se multiplier de façon excessive au niveau de la paroi de l’utérus, créant alors une masse. Il a toutefois été mis en évidence que les hormones sexuelles jouent un rôle dans la croissance des fibromes. Un déséquilibre dans les taux d’œstrogène et de progestérone favorise le développement des fibromes. Il semblerait qu’un surplus de production d’œstrogène, et/ou une trop faible proportion en progestérone pourrait être une condition précurseur à l’apparition de fibromes. Certains facteurs de risque sont également susceptibles d’augmenter la probabilité qu’une femme développe un ou plusieurs fibromes utérins :

  • L’hérédité : il existe une prédisposition familiale à développer un ou plusieurs fibromes. Ainsi, une femme dont un membre de la famille au 1er degré (mère ou sœur) a eu un fibrome est plus susceptible d’en développer à son tour.
  • L’origine ethnique : les femmes d’origines afro-américaines et africaines présentent plus de risque de développer un fibrome utérin que les autres groupes ethniques (femmes caucasiennes, hispaniques, asiatiques). Leurs fibromes sont souvent plus gros, plus nombreux et apparaissent à un âge plus précoce.
  • L’âge : les fibromes peuvent apparaître à tous les âges de la vie d’une femme depuis la puberté jusqu’après la ménopause. Cependant, les femmes les plus touchées par les fibromes utérins ont entre 35 et 45 ans. La période pré-ménopausique avec son dérèglement hormonal (hyperœstrogénie relative) va favoriser leur croissance. Après la ménopause, les fibromes vont régresser spontanément en raison de la baisse du niveau d’œstrogène.
  • Le surpoids et l’obésité : il existe dans la graisse des enzymes qui transforment les hormones androgènes en œstrogènes (aromatase), et comme vu précédemment, un taux élevé en œstrogène favorise la croissance des fibromes.
  • La nulliparité: le fait de n’avoir jamais vécu de grossesse menée à terme. En effet, les études montrent que le fait d’avoir connu une ou plusieurs grossesses réduit le risque de survenue des fibromes.
  • L’apparition des premières règles à un âge précoce (avant 12 ans)
  • La consommation d’alcool 

Prise en charge des fibromes utérins.

Tu te demandes peut-être maintenant comment savoir si tu es porteuse ou non de fibromes ?

Eh bien, déjà, tes principaux indicateurs sont les messages de ton corps.

Parmi le cocktail de symptômes cités plus haut peut-être que certains d’entre eux font partie de ton quotidien, auquel cas il serait intéressant d’en parler à ton gynécologue. La seule manière d’identifier et de cartographier un fibrome, ce sont les examens d’imagerie médicale, notamment les échographies (pelviennes et intravaginale) et l’IRM. Il arrive d’ailleurs parfois que les femmes découvrent qu’elles ont un fibrome lors de leurs échographies de grossesse !

En termes de prise en charge, plusieurs options thérapeutiques existent si jamais tu es porteuse de fibromes.

Il faut savoir qu’il n’y a pas de technique meilleure qu’une autre. Le traitement sera préconisé en fonction des symptômes, du désir de grossesse, du nombre de fibromes, de leur localisation, de leur taille, ainsi que du souhait de conserver ou pas ton utérus. Il est d’ailleurs possible d’associer plusieurs de ces techniques pour améliorer la qualité de prise en charge spécifique à ta situation. Je vais simplement te lister les différentes options possibles, car j’ai à cœur de porter mon argumentaire sur le préventif et l’hygiène de vie plutôt que le curatif.

Parmi les traitements possibles, voici ce qui pourra être proposé, de la technique la moins invasive à la plus invasive :

  • L’abstention thérapeutique, c’est-à-dire pas de traitement, juste une surveillance de l’évolution du fibrome.
  • Le traitement par médication qui permet d’agir sur les circuits hormonaux.
  • Les ultrasons focalisés qui permettent de détruire les fibromes sans endommager les tissus environnants.
  • L’embolisation artérielle, qui va priver le fibrome de vascularisation.
  • La myomectomie, qui consiste en l’ablation du ou des fibromes.
  • L’hystérectomie, qui consiste en l’ablation totale ou partielle de l’utérus.

Comme tu l’as vu précédemment, avoir un utérus fibromateux est plutôt courant, bien que les chiffres soient encore largement sous-estimés. Mais bien trop souvent le diagnostic est posé tardivement, et la prise en charge doit se tourner vers les traitements les plus invasifs afin de retrouver en confort de vie. D’ailleurs, les fibromes représentent la première cause d’hystérectomies en France, et quand on sait que chaque année plus de 60 000 hystérectomies ont lieu, ça donne à réfléchir !

Mon histoire, des premiers symptômes à la myomectomie

Pour illustrer ces propos, j’aimerais te livrer mon propre témoignage.

Mon cycle menstruel a commencé à devenir chaotique vers la fin de l’année 2018, avec des saignements qui ont commencé à devenir anarchiques. Début 2019, j’ai donc effectué des examens d’imagerie médicale pour voir ce qui se tramait. À l’échographie rien d’anormal, si ce n’est un tout petit fibrome sous-séreux de 2 cm. Ça avait l’air si banal aux yeux de la gynécologue, que je ne m’en suis pas inquiétée plus que ça, j’ai même fini par oublier son existence.

La vie a suivi son cours. Le temps passant, mes cycles menstruels sont devenus de plus en plus douloureux, et hémorragiques. En 2020, je change de gynécologue, le nouveau me dit qu’il ne peut rien faire pour moi, que les saignements dépendent des femmes, qu’il peut simplement me prescrire la pilule pour arranger un peu mon cas. Cela faisait 7 ans que je ne prenais plus de contraceptifs, mais mon confort de vie étant tellement impacté par ces douleurs et saignements que je me résigne à tenter cette solution à contre cœur. Solution qui finalement n’a pas fonctionné, les saignements étaient certes un tantinet moins important, mais je me retrouvais à saigner pendant 15 jours au lieu d’une semaine. Je décide alors de tout arrêter.

Début 2021, nouveau rendez-vous avec le gynécologue. J’insiste, je lui explique encore comment se passe mes cycles, je ne lâche pas le morceau, je sens bien au fond de moi qu’il y a un truc qui cloche. Il me prescrit une IRM pour éliminer une éventuelle endométriose. Je réalise donc mon IRM dans le mois qui suit et là, c’est le choc : très bonne nouvelle, pas d’endométriose. Par contre présence d’une masse volumineuse bilobée de plus de 6 cm sur 3,5 cm. Sur les images de l’IRM, il me semble énorme, un mastodonte. C’est la panique.

S’en suivra une nouvelle prise de rendez-vous avec le gynécologue pour évoquer ma prise en charge. Le verdict tombe, ce sera une myomectomie par laparotomie. Près d’un mois et demi après l’opération, je suis très bien remise. Toutefois, je n’ai pas encore le recul nécessaire pour savoir si mes menstruations seront moins chaotiques.
En rangeant mes documents et comptes rendus opératoires, je retombe sur mes vieilles échographies et là, je me prends une claque, je retombe sur cette échographie qui décelait ce « tout petit » fibrome il y a deux ans. C’était lui… Le même …. Il était déjà là.
Et je réalise qu’en l’espace de 2 ans, ce petit truc insignifiant a triplé de volume.

Je percute que, si j’y avais prêté plus d’importance et d’attention peut-être que j’aurais pu mettre en place des alternatives naturelles pour tenter de ralentir sa croissance, ce qui m’aurait peut-être évité cette lourde opération.
Parce que oui, il existe plusieurs pistes pour prendre soin de son utérus, que l’on soit porteuse de fibromes ou non !
Pour préserver ton utérus, prends soin de ton équilibre hormonal !

Nous l’avons vu précédemment, les fibromes utérins, en dehors des facteurs génétiques, s’expriment à cause d’un déséquilibre hormonal : une présence excessive d’œstrogène dans le corps, et/ou une insuffisance de progestérone. Il serait donc utile de faire un bilan hormonal pour mesurer le taux de tes hormones.

Tes taux sont déséquilibrés ?

Comment réduire naturellement ton taux d’œstrogènes ?

Pas de panique ! Il existe quelques solutions naturelles pour retrouver l’équilibre. Tout d’abord, il est important de préciser qu’il existe plusieurs sortes et donc sources d’œstrogènes :

  • L’œstradiol, qui est le principal œstrogène, il est produit par les ovaires
  • L’oestrone, qui est l’œstrogène produit par nos graisses
  • L’œstriol, qui est de l’œstrogène produite au moment de la grossesse par l’unité foeto-placentaire
  • Les métabolites d’œstrogènes qui proviennent de nos bactéries intestinales
  • Les xéno-œstrogènes qui proviennent de toxines environnementales
  • Les phytooestrogènes qui proviennent des plantes

Alimentation et métabolisme :

Consommer des phytooestrogènes avec modération : les phytooestrogènes sont des composés de végétaux qui ont une structure analogue à celle de l’œstradiol. Cela leur confère la capacité à se fixer sur ses récepteurs, et ils peuvent donc avoir des actions modulatrices des œstrogènes (action estrogénique ou anti-estrogénique). Consommés en quantité modérée, ils auront une action anti-œstrogènes. Avant de chercher à modifier ton alimentation, je te suggère toutefois d’avoir l’avis d’un professionnel tel qu’un.e naturopathe pour être bien conseillé.
Réduire ta consommation de sucres rapides : si ton alimentation est trop riche en sucre, l’insuline va stocker le trop-plein de sucre sous forme de graisses. L’idée est ici de consommer des aliments à Indice Glycémique (IG) bas pour éviter que ton corps stocke cette graisse et produise davantage d’œstrogènes (oestrone).
Modérer ta consommation de graisse animale : cela va de pair avec ce qui est dit plus haut. Il y a aussi présence d’œstrogène dans les graisses animales, d’où l’importance d’en consommer avec modération.
Prendre soin de ton microbiote : le microbiote est l’ensemble des bactéries qui peuple ton intestin. Il peut être peuplé de bonnes et de mauvaises bactéries. Un microbiote intestinal en mauvaise santé peut causer une élévation du taux d’œstrogène en empêchant leur élimination naturelle. Pour prendre soin de ton microbiote, il est important d’avoir un régime riche en fibres, de consommer des produits lactofermentés, de limiter les apports en sucre, de faire attention à la prise trop régulière d’antibiotiques.
Soutenir ton foie: ton foie est un élément indispensable dans la détoxification du corps et l’évacuation des déchets, et notamment des œstrogènes en surplus. Pour prendre soin de ton foie, il est important de limiter ta consommation d’alcool. En effet, l’alcool « court-circuite » le bon fonctionnement du foie et si ce dernier ne fonctionne pas correctement, alors ton corps aura tendance à accumuler plus d’œstrogènes que nécessaire au lieu de les évacuer. Il est possible par ailleurs de soutenir ton foie en le drainant grâce à certaines plantes, comme le romarin par exemple.

Massages et activité sportive :

L’activité sportive : un sport régulier va permettre de réduire la proportion de graisses dans le corps, et notamment la concentration d’aromatase (enzymes produisant de l’œstrogène). Faire de l’exercice régulièrement permet aussi d’améliorer ta circulation et favorise en ce sens la désintoxication et l’élimination des déchets.

Se faire masser régulièrement : Le massage va permettre de favoriser les échanges entre les tissus et va permettre de drainer les toxines qui encrassent l’organisme. Ça peut être une alternative vraiment intéressante quand il y a un excès d’œstrogène dans le corps.

Réduire l’exposition aux xéno-œstrogènes :

Les xéno-œstrogènes sont des substances nocives issues de l’industrie. Ce sont des œstrogènes synthétiques fabriqués chimiquement. On les appelle aussi perturbateurs endocriniens, car ce sont des substances qui peuvent s’accumuler dans le corps et peuvent venir déséquilibrer la balance hormonale. Échapper à toutes ces toxines environnementales est impossible, mais il est possible de limiter notre exposition. Pour cela :

Éviter les contenants en plastique et les boites de conserves : préférez la conservation des aliments dans de l’inox, de la poterie ou du verre. Le plastique contient des phtalates, qui peuvent être libérés par la chaleur et peuvent avoir un effet déséquilibrant sur le système hormonal. La boite de conserve, quant à elle, contient du bisphénol A.
Optez pour des produits de beauté naturels, et sans microbilles : « Ne mettez pas sur votre peau ce que vous ne pouvez pas manger » Devise d’Amanprana. Les cosmétiques à base de parabens, notamment, sont donc à éviter.

Gestion du stress :

Ensuite, il est important d’être peu exposé au stress. En effet, la progestérone et le cortisol (l’hormone du stress) sont produits à partir de la même hormone mère, la prégnénolone. En situation de stress, la production de cortisol sera prioritaire, et comme la quantité de l’hormone mère n’est pas extensible, alors la production de progestérone chutera.
Afin de lutter contre le stress, il existe plusieurs disciplines qui peuvent t’aider dans cette démarche, comme la sophrologie, la méditation, la relaxation.

Tu l’auras compris, de manière générale, pour que tes hormones sexuelles soient bien équilibrées, il est important d’adopter des habitudes de vie saines. En agissant comme tel, tu mettras toutes tes chances de ton côté pour préserver ton utérus, et éviter que de vilains fibromes viennent y faire leur nid.
En cas de doutes sur ton équilibre hormonal, il est indispensable que tu consultes un professionnel de santé. Cet article est un recueil d’informations et ne remplace en aucun cas un diagnostic médical.

 

Sources :
– Prévalence du fibrome utérin en France et impact sur la qualité de vie à partir d’une enquête menée auprès de 2500 femmes de 30–55 ans – H.Fernandezabc N.Chabbert Buffetde S.Allouchef
– Msdmanuals.com
– Fibrome-info-france.org
– Mon-fibrome.fr
– Vivre100fibromes.ca
– Lara Briden – period repair manual 

 

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